l'horloge de la gare de Chartres

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dimanche 13 décembre 2015

douceur de L'aiR Nu




Je n'ai pas envie d'en dire tellement plus que cette photo prise par Sandrine Vallée de la Communauté de communes de Moret le soir de l'inauguration de notre résidence, quelques minutes avant notre passage sur scène : tout y est. 



Alors quoi ? Raconter qu'on travaille plutôt beaucoup, en réalité, pour pouvoir à la fois assurer cette résidence, poursuivre notre projet collectif en dehors, trouver de l'argent pour tous et pour chacun tout en déroulant vaille que vaille nos projets personnels ? 
(ci-dessus la mascotte du groupe et le carnet bleu qui sert pour Moret, photo de Joachim)















Oui, il n'y a pas de raison de ne pas le dire. 
Je devrais attendre la mise en ligne de notre prochaine page, sans doute ; faire une annonce tonitruante, aussi, dire que vous pouvez adhérer, nous soutenir, grâce à ce nouveau lien sur le site.
Oui. Oui, oui. 
Mais ce dont j'ai envie, depuis quelques jours déjà, c'est simplement d'intituler un billet de ce blog douceur de L'aiR Nu. Parce que ce collectif nous porte (je crois que je peux dire nous à cet instant précis). Que nous nous sentons à notre place à tenter du nouveau. Que nous nous retrouvons parfois face à des vents contraires, froid chaud chaud froid douche écossaise pour tous et voilà que ça résiste, nous résiste, nous chasse, nous atteint. Mais il y en a toujours un (ou deux, ou les quatre, ou les six même, car en fait nous sommes six) pour inventer un truc, envoyer un lien ou une vanne, dénouer la situation, redonner de l'élan.

(ci-dessus le montage de Mathilde pour illustrer la résidence)



Nous sommes six car, en association depuis le 1er septembre, nous avons demandé à Philippe Diaz (ou Pierre Ménard, allez savoir) d'être notre président et à Caroline Diaz de devenir notre trésorière, et ils ont dit oui. Six, donc, à garder les fenêtres ouvertes, à écouter les trains et le reste, à s'équiper avant de partir, à utiliser les ciseaux et le code, le clavier et l'enregistreur, le Navigo, la carte, le papier... A tenter de respirer un peu.

(douceur : ci-dessus le panneau qui présente L'aiR Nu à la médiathèque d'Ecuelles. Chaque fois que j'entre dans une des bibliothèques de la CC j'en trouve un qui veille...)

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